Ma Femme, Claire – Tranches De Vie 01

MA FEMME, CLAIRE – Tranches de vie 01

Nous sommes un couple qui a dépassé la cinquantaine et approche, tout du moins pour moi, de la soixantaine, alors que Claire, mon épouse est de cinq ans ma cadette. Prénommé Charles, je suis un obsédé sexuel depuis mon enfance, et il m’a fallu un certain temps pour entraîner la femme de ma vie dans des déviances sexuelles et des relations multiples. Nous avons mis en commun ces tranches de vie que nous écrivons à quatre mains, même si le « je » est plus souvent présent que le « nous ».

Claire a un visage d’une finesse exceptionnelle, une chevelure fine et brune, très longue puisque lui arrivant au-dessus des fesses, qu’elle roule en chignon ou attache en queue de cheval ; elle n’est pas très grande, 1m, 67 pour à peine 50 kg ; elle est très bien faite avec des attaches fines et une peau diaphane et douce. Ses petits seins plantés haut pointent bien et cela me change des grosses mamelles des autres femmes que j’ai fréquentées. C'est le principal et seul défaut de sa plastique qui me dérangeait un peu au début de notre relation. Car par la suite, je me suis réjoui de ses petits seins qui ont augmenté au moment des grossesses et de l'allaitement de nos s. Ils ont doublé de volume à ces moments, devenant rigides, aussi durs qu’un morceau de bois. Le bout des tétons a toujours été proéminent en permanence et très sensible. Par la suite, ses seins ont toujours été fermes et je les trouve plus agréables que beaucoup de seins que l'on voit à la télé ou sur le net. En plus j'ai horreur des seins refaits, je préfère qu’ils soient lourds et même qu'ils tombent un peu. Ses fesses ne sont pas très rebondies comme certains culs callipyges qui laissent rêveur, mais de proportion très agréable. Son pubis est recouvert d’une toison fournie et frisée et sa vulve était encore très étroite et vierge au moment de notre rencontre. Plus tard, ses lèvres déployées en corolles ont donné accès à un vagin toujours très lubrifié et à un clitoris, qui une fois sorti de son capuchon a l’apparence d’une petite groseille.

Claire a toujours gardé une ligne parfaite, n’ayant aucune cellulite ni vergetures. Son ventre s’est bombé légèrement mais sans excès.

Claire est très douce, plus que distinguée, une démarche de reine (elle a fait de la danse classique toute petite jusqu'à son adolescence). Lors de notre rencontre, j’avais déjà une certaine expérience des réactions charnelles avec les nombreuses femmes que j'avais baisées jusqu’ici, mais là, il me fallut redoubler d'attention et de patience pour petit à petit découvrir et caresser ce corps inexpérimenté que je convoitais ardemment. Il me faut un bon mois pour parvenir à accéder à ses parties les plus intimes et avoir la joie de la voir se cabrer sous mes doigts qui effleurent sa vulve et surtout son clitoris. Lorsque je pus enfouir ma tête entre ses cuisses et qu'avec ma langue je léchai les replis tendres de son entrecuisse et toute sa vulve, je l'amenai où je voulais, c’est-à-dire dans une jouissance continue qui me la mit enfin à ma merci.

Jusqu’alors, malgré la pression que j’exerçai sur Claire, impatient de pouvoir concrétiser des relations charnelles avec celle que je désirai aussi ardemment, impossible de la sauter. Le samedi suivant nos fiançailles officielles, nous nous rendîmes à un grand bal qui avait lieu dans les salons de l’hôtel de ville de X. C’est là que nous rencontrâmes Cris (elle apparaîtra dans un prochain épisode), la jeune fille qui mit fin à mes illusions au début de cette année là, avant ma rencontre avec Claire.

Ce jour là, je lui présente ma fiancée avec une certaine provocation. Cris qui est aussi blonde que Claire est brune accuse le coup et demande à cette dernière si elle peut s’entretenir en privée avec elle. Lorsque qu’après un bon quart d’heure Claire revient vers moi elle est décomposée. Elle me rapporte aussitôt les termes de l’entretien qu’elle a eu avec celle qu’elle considérera toute sa vie comme sa rivale. Cris lui a confié qu’elle est venue à ce bal pour me reprendre, alors qu’elle m’a abandonné dix mois plus tôt.
Qu’elle considère que Claire est une petite oie blanche et qu’elle n’a qu’à claquer des doigts pour reprendre l’homme avec qui elle a eu de fougueux rapports. En rentrant chez mes parents, Claire ne voulant pas risquer de me perdre se donne alors à moi, m’offrant ainsi sa virginité. Elle se donne d'abord avec réticence, puis avec fougue à ma queue qui la déflore. Toute la nuit nous faisons l’amour, expérimentant les positions du missionnaire, de la levrette, du chien de fusil, alternés de soixante-neuf pour recharger mes batteries et mes couilles qui n’en peuvent plus. Claire se prête à toutes mes fantaisies ; elle a trop peur que Cris puisse me reprendre, alors elle me laisse même explorer avec mes doigts son anus encore vierge (pourtant, il me faudra quelques années avant que j’y enfouisse mon dard).

Tout cela pour dire qu'il m’a fallu tout lui apprendre avec beaucoup de délicatesse pour ne pas l'effaroucher.

Dans les premières années de notre mariage, il était impossible que Claire se déshabille devant moi le soir : elle devait passer une chemise de nuit dans la salle de bains et une fois sous les draps, elle se mettait nue sans aucun problème, puis, quand nous faisons l’amour elle se laissait découvrir sans hésiter.

Dans la chaleur ou dans le froid, nous avons tous deux toujours dormi nus. Par contre le matin, après notre nuit d’amour, elle se lève complètement à poil et déambule devant moi sans aucun complexe. Où se loge la logique féminine ?

Au fil du temps, elle prend de plus en plus son pied et plus que cela. Mais durant très longtemps, elle ne prendra jamais l'initiative de nos ébats amoureux, même si elle est toujours prête, son vagin se lubrifiant à la moindre sollicitation mentale ou manuelle. J'ai eu beaucoup de mal à ce qu'elle touche mon sexe et qu'elle me masturbe. Après, elle l'a fait plus facilement. À défaut de godemichets à cette époque, du moins dans la vie courante, j’ai utilisé les objets les plus faciles qui pouvaient ressembler à un sexe : des carottes et des navets, des bananes épluchées ou non, des concombres de différentes taille et même des bougies, une, puis deux, trois ou même quatre, réunis pour pénétrer son minou.


Il m'a fallu très longtemps pour qu'elle se libère complètement et c'est seulement alors qu'elle avait à peine vingt-deux ans que j'ai fait lire à Claire des textes érotiques classiques, puis des romans pornographiques. Elle se masturbait en lisant et nous avons souvent fait l'amour, interrompant ainsi nos lectures communes. Après, nous parlions de ce qu'elle avait lu et de son excitation à la lecture de certaines situations. Nous échangions sur ses fantasmes, comme beaucoup de femmes très difficilement. C'est comme cela que j'ai pu commencer à lui suggérer, d’abord prudemment, puis, souvent lorsque nous faisions l’amour, de mettre un inconnu dans notre lit pour qu'elle découvre une autre verge que la mienne. Elle s’est refusée pendant très longtemps avant que je réussisse à lever les barrières de sa résistance à cette idée. Pour cela, il a fallu passer par de nombreuses exhibitions avant de pouvoir sauter le pas.

Durant les premières années de notre mariage elle n’acceptait que difficilement la fellation qu’elle n’exécutait, et encore, incomplète, que par reconnaissance de la jouissance que je lui donnais avec ma bouche ; puis, lors d’un séjour au Maroc, elle a avalé ma semence par accident et elle s’est complètement désinhibée sur cette pratique.

Pour la sodomie, cela a été plus difficile. Elle y a pris progressivement du plaisir, quelquefois avec un ou plusieurs doigts, ou même un petit gode dans l’anus et ma bite dans sa vulve. Depuis le début de la trentaine elle jouit du cul aussi bien sinon mieux que dans sa chatte.

Lorsqu’elle accepta, à la quarantaine, de se faire prendre devant moi par un autre homme puis, à la suite que nous lui fassions découvrir une double pénétration, elle obtient sa jouissance curieusement plus de sa pénétration anale que de la vaginale, mais son plus grand plaisir lui vient de ses doigts ou des langues qui sollicitent son clitoris. D’ailleurs, si elle a eu beaucoup de mal à se masturber les trois ou quatre premières années.
Elle y prend , à présent, de plus en plus de plaisir, même devant des voyeurs occasionnels, jouissant très longtemps de ses doigts enfouis dans la chatte et astiquant furieusement le clito ; recommençant après chaque orgasme jusqu’à l’épuisement pendant quelquefois près d’une heure. Elle qui ne s’était jamais masturbée, adolescente ou jeune fille, a découvert et apprécie maintenant cette pratique que je l’ai presque à faire. Elle y prend un plaisir fou, trop heureuse que je la vois prendre son pied pendant que je la photographie.

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